re bonjour de Claude Desmedt, voici la suite de mon récit.J'arrive donc en 1965 aux ateliers pour faire l'apprentissage de peintre en bâtiment. J'y reste 6 mois ou nous apprenons les anciennes techniques des peintres, préparer ses teintes et peintures, faire ses mastics et ses enduits, monter des échafaudages en bois ect... et même peindre une partie de L'école. Mon grand frère Christian faisait parti d'une troupe de théâtre organisée par un "pion" hors du commun Mössieu "Caddy". Christian me proposa de faire parti de cette troupe comme décorateur, ce que j'acceptais de grand coeur. M. Caddy me donna son accord et c'est là que je fis la connaissance de tout ce joli monde qui la composait. Farrenc, Picard,rodriguez,Chanut, Desmedt Christian et quelques filles de la Professionnelle et combien d'autres noms qui hélas m'échappent. Je pris le train en route car La troupe avec déjà montée des pièces de théâtre bien avant. Si ma mémoire ne me trompe pas, ils avaient déjà joué "les fourberies de Scapin", "le malade imaginaire" et 'l'Avare" dans lequel notre ami "Farrenc" se surpassa avec maestro. On avait également une coopérative qui nous permettait d'acheter des friandises, et de participer à diverses activités comme la photo, le billard et le ping-pong. Le jeudi après midi et certain soir, on avait droit à une projection cinématographique organisée par cette coopérative. On pouvait y voir des films relativement récents." l'homme de Rio, l'arme à gauche... J'avais repris l'enseignement général et je me souvient de prof. comme M. Bourse en gym. Madame Renard prof. de Maths, Madame Matigo prof. d'histoire Géo, Madame Anglard, M. Garcia Prof. d'Anglais, Madame Fernandèze Prof. d'Espagnol, Brulard prof. de dessin. Ont étaient encadrés par des "pions" que l'ont appréciaient plus ou moins, Maçon, Shella, Rochet, Leroy et d'autres qui passaient beaucoup mieux Caddy, Joulin, Renaudeau. La bouffe laissait beaucoup à désirer et le pensionnaire qui n'arrivait pas à se faire de copains devait à mon avis vraiment s'emmerder.
P.S. pour ceux qui vont me lire, soyer indulgent pour les tournures de phrase ou bien même les fautes car j'écris comme cela tombe. La suite au prochain N°.