Ben alors...

Voilà autre chose...

Vers 11H00, sept personnes, la tête recouverte de capuches, se sont introduites à l'intérieur du lycée polyvalent Adolphe-Chérioux et ont passé à tabac un lycéen de 15 ans qui a été conduit à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre pour de nombreuses contusions, a indiqué la source policière.

Deux mineurs âgés de 15 et 16 ans ont été interpellés. L'un d'eux était en possession d'une bombe lacrymogène, a expliqué la source policière.

L'un des agresseurs a par ailleurs fait usage d'un pistolet à grenailles et a tiré au moins un coup de feu en l'air, selon cette source. "L'arme n'a pas été utilisée contre la victime. Un coup de feu a été tiré en l'air sans doute pour impressionner", a-t-elle expliqué.

J'irais pu, moi...
dans ce coupe gorge...

Hé bé....ça fait réfléchir

Aux armes les écureuils ???.............

quel génération


Le décret "anti-cagoules" est applicable

Ca n'empêchait pas les frittages corsés...
Demandes à Vendome...

Au fait...Ou qu'y s'a core muché, M'n'homme ???

C'est vrai qu'ils réglaient ça avec leurs poings, mais ça pouvait faire des dégats.
Quand aux filles, elles n'étaient pas en reste...
Mais comme toi, comme j'étais une pacifiste et c'est de très loin que j'ai pu observer quelques phénomènes sur la cour des filles...

bisous

Agression dans un lycée à Vitry
Un groupe de cinq à sept jeunes a agressé un adolescent, mardi matin, dans l'enceinte du lycée Chérioux à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). Cagoulés, ils l'ont tabassé et aspergé de gaz lacrymogène.

Nouvelle agression dans l'enceinte d'une école. Mardi matin, un jeune homme d'à peine 15 ans a été passé à tabac par un groupe de sept à huit personnes, au lycée Chérioux à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne). D'après le parquet de Créteil, qui s'est emparé de l'affaire, le jeune homme présente une plaie à l'oreille et une plus importante à la cuisse. Un coup de couteau serait à l'origine de cette blessure. Conduit en urgence à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, l'adolescent est hors de danger. Reste maintenant à comprendre le déroulement de l'agression.

Selon plusieurs enseignants témoins de la scène, les agresseurs étaient encagoulés et munis de bombes lacrymogènes. Une détonation entendue au moment des faits laisse également penser que l'un des individus était muni d'une arme de poing, "de type pistolet automatique", selon le parquet. Si on ne connaît pas pour le moment le motif de cette agression, la police pourrait avancer assez rapidement. Deux jeunes gens ont en effet été interpellés quelques heures après les faits. Ils sont tous les deux originaires de Thiais, comme la victime, et ont 15 et 16 ans.

Mercredi, les enseignants se sont réunis à dix heures pour décider de la conduite à adopter. Au sortir de la réunion, ils ont annoncé leur volonté d'exercer leur droit de retrait et donc de cesser les cours. Un peu plus tard, Luc Chatel a pris la parole sur RMC pour affirmer que "au lycée Chérioux, au mois de mai dernier, il a été élaboré un diagnostic de sécurité qui préconisait précisément qu'il y ait une clôture de l'établissement", a expliqué le ministre de l'Education, en évoquant un lycée situé "dans un parc sur plusieurs hectares" avec "22 bâtiments ouverts à tous les vents". "Malheureusement, ça n'a pas été fait et je regrette que les collectivités locales, la région et le département se soient un peu renvoyés la balle sur ce sujet puisque le département est propriétaire du site et la région responsable du lycée. Ce que je souhaite, c'est que dans les meilleurs délais, on mette en oeuvre les préconisations de ce diagnostic", a-t-il dit

"22 Batiments ouvert à tous les vents"?? De mon temps ma brave dame!!
Aujourdh'ui, j'ai fais un peu de route et l'on parle de Chérioux à tous les bulletins d'info, sur toutes les radios!!

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(... rhaaaa je sens que je vais être méchant !)

J'écoute le buzz médiatique de ce truc sur France Info et je ris jaune... En fait y' rien de nouveau, sauf du côté des adultes.

A la télé j'ai entendu les états d'âme de profs, avec lesquels je serais surtout pas pas parti en patrouille dans la jungle. Pas étonnant que ces gens ne contrôlent plus rien. Et c'est partout pareil. Comment y' en sont arrivés là, je sais pas.

Enfin, si je sais. J'ai vécu 14 ans (2 périodes de 7 ans) avec des enseignantes. Et je peux vous affirmer qu'être "conjoint d'enseignant" c'est se farcir des réunions, des bouffes, des sorties, des vacances, des fêtes de fin d'année, etc... avec des gens - qui dans leur immense majorité - marchent sur la tête ou à côté de leurs pompes en se regardant le nombril ; qui ne se mélangent qu'entre eux, qui ne parlent que d'eux et de leur boulot, et qui regardent avec condescendance tout ce qui n'est pas apparenté à leur tribu et ne sacrifie pas à Sainte-Pédagogie.

Et quand vous côtoyez un cran au-dessus, les conseiller(e)s pédagogiques, les inspecteurs, etc, là vous êtes sur une autre planète ou les gens parlent, entre initiés, le "pédagogien" : une espèce de langue de bois intellectuelle, un volapük alambiqué inaccessible au commun des mortels, et sont totalement déconnectés des réalités. C'est un monde de plaintifs et de frileux.

L'infime minorité des enseignants qui tiennent la route, eux(elles) sont exceptionnellement talentueux(ses), mais presque toujours étouffés par la masse inerte et nivelés par le rouleau compresseur d'une entité administrative, appelée Léducation Nationale.


Parmi les souvenirs ramenés de Chérioux, j'ai (... en autres) une boutonnière de 5 cm à la cuisse gauche souvenir d'une méchante explication avec un fâcheux qui jouait du schlass.
C'était pas rare, parce que beaucoup de mecs avaient un Opinel ou un Lagiole au fond d'une fouille. En cas d'accroc, on en faisait pas un pataquès, on allait se faire recoudre à l'infirmerie en inventant un bobard.

Souvent (surtout l'hiver) à la rentrée du dimanche soir, on était attendus par les marlous de Villejuif [la bande à Jean-Jean (*)] et ça schlappait dur, avec surins et chaînes de vélo d'un côté, surins et scoubidous en cuivre de l'autre.
Parfois les flic venaient récupérer un interne dans l'enceinte, parfois c'était un pion qui se prenait une branlée, parfois un prof, et j'ai pas souvenir que quelqu'un ait exercé un "droit de retrait"...

... formulation alambiquée pour dire qu'on y va pas et qu'on se dégonfle parce qu'on a les flubes.

Il faudrait que tous ces gens relisent < Anton Semionovitch Makarenko > ou encore, le bien-aimé < Janusz Korczak > ... ça leur remettrait les idées dans l'axe.

Mon cher Vendome je crois que j'ai droit à une médaille
26 ans de mariage avec mon prof d'anglais de femme!!!
Hélas je dois dire que nous souscrivons (elle a lu ton post). ta description du milieu enseignant sent le vécu!! Dans 95 pour cent des cas tout cela est le reflet de la réalité

"Vendome a écrit"

Enfin, si je sais. J'ai vécu 14 ans (2 périodes de 7 ans) avec des enseignantes. Et je peux vous affirmer qu'être "conjoint d'enseignant" c'est se farcir des réunions, des bouffes, des sorties, des vacances, des fêtes de fin d'année, etc... avec des gens - qui dans leur immense majorité - marchent sur la tête ou à côté de leurs pompes en se regardant le nombril ; qui ne se mélangent qu'entre eux, qui ne parlent que d'eux et de leur boulot, et qui regardent avec condescendance tout ce qui n'est pas apparenté à leur tribu et ne sacrifie pas à Sainte-Pédagogie.


Condescendance...le mot est faible!

@Pilou :

J'ai oublié, les achats merdiques à la CAMIF, les comptes foireux à la CASDEN-BP et les emprunts de misère au Crédit Municipal...

Je pense, qu'avec Solange et toi, on devrait créer une ONG afin de faire connaitre à la face du Monde le martyre intellectuel de ce petit peuple d'égarés, abandonné de Dieu et de l'humanité entière, qu'on appelle "Les conjoints d'enseignants" ; sans lesquels il n'y aurait personne pour tenir les stands de la fête de fin d'année et transporter le matériel, ou pour garder la maison pendant que l'autre est en "conférence pédagogique".

Ceci dit, la mère de mon fils, qui était directrice à Armentières, avait la foi du charbonnier et faisait partie de cette minorité que n'aurait pas reniée ni Jules Ferry, ni Célestin Freinet, ni Maria Montessori. Elle voulait faire avancer les choses... hélas, elle avait 2 clous dans ses godasses : les "collègues" et les parent d'élèves.

Pour en revenir aux évènements de Chérioux, je suis quand même abasourdi : si j'ai bien entendu, il y a actuellement en moyenne 1 pion pour 100 élèves... aussi je voudrais modérer mes propos antérieurs. C'est comme si au LTG (où nous étions env. 300) il n'y aurait eu que 3 pions... bonjour le bordel !

Une ONG? pourquoi pas